
Non, je n’irai pas faire le plein de papier toilette.
Après avoir parcouru les 28 articles sur le Coronavirus de la Presse ce matin; 28 articles sur 35, j’avoue ! je dois lutter pour ne pas me laisser aspirer par la panique ambiante du troupeau.Prendre les mesures nécessaires pour éradiquer à son maximum la propagation d’un virus c’est être responsable et respectueux de soi et des autres. Accéder à la peur c’est succomber à une force destructrice.
Cette peur, jusqu’à un certain point irrationnelle, a peut-être été programmée par un projet plus souterrain, celui de la cupidité mercantile d’entreprises en recherche médicale ou pour répondre à un système de nettoyage écologiste de notre planète malade. Peu importe son point de départ, ou la raison de sa présence, y répondre par la panique risque de devenir plus dangereux que le virus lui-même.
Pour le moment la seule chose que le COVID-19 a prouvé c’est à quel point il est facile de manipuler la population moderne mondiale.
Vivre, c’est risquer
“Si on veut une société sans risque, alors on ne vit plus. Si on veut une société sans risque, alors on n’embrasse plus personne sur la bouche parce que l’on peut attraper des microbes. On met un masque pour respirer. Le risque, c’est la vie ! Vivre c’est risquer ! Raël Le Maitraya p176
La peur irrationnelle nous éloigne du bonheur. La frustration de se sentir impuissant face, entre autres, à une pandémie nous met dans une situation encore plus anxiogène. La peur nous pousse à écouter et lire en direct les médias et ceux-ci, sous couvert de nous informer, alimentent cette peur en expliquant les rayons vides des magasins, les rues aux fantômes masqués.
La sensation de frustration ressentie rend la situation actuelle encore pire. Aller vider les rayons des épiceries peut donner la fausse impression que l’on a la situation en main. La peur, celle que nous avons face à un danger immédiat comme celle d’un puma allant nous sauter dessus produit en nous une action qui augmente notre capacité de survie. Notre cerveau nous prépare à courir vite, à nous défendre. Cette peur est bien différente de la peur anxieuse et angoissante propagée présentement par les médias.
“Le plus grand ennemi de la santé, c’est d’être de mauvaise humeur… La peur est terrible, mais la peur d’avoir peur, c’est encore pire. Etre heureux d’être heureux, c’est super. Rire de rire, c’est le meilleur ; plein d’enzymes sont générés qui soignent quand vous avez un fou rire … Rire de rire, c’est ce que j’espère que vous allez pratiquer”. Raël Ŕ 325
Alors cet après-midi plutôt que d’aller m’approvisionner de 50 rouleaux de papier toilette supplémentaires, je vais me programmer une comédie et rire. Comme, grâce à la technologie, je peux le faire de mon salon, ce n’est pas aujourd’hui que je vais dire bonjour au coronavirus d’autant plus que je me lave les mains souvent et que j’ai ma petite bouteille de désinfectant dans ma poche.
Lyliane Jolly
Chroniqueuse du Mouvement Raëlien